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Selon un chercheur en neurobiologie, le covid serait doué d’une supra-intelligence

Boris Cicchetti, entrepreneur d’une petite startup en télécommunication, assistait sans grande conviction à cette conférence du 15 septembre dernier où Emmanuel Macron défendait la 5G devant des entreprises du numérique. À l’issue de la rencontre, une petite phrase lui reste en tête. Et elle va lui rester en tête toute la nuit suivante, jusqu’à devenir […]

Boris Cicchetti, entrepreneur d’une petite startup en télécommunication, assistait sans grande conviction à cette conférence du 15 septembre dernier où Emmanuel Macron défendait la 5G devant des entreprises du numérique.

À l’issue de la rencontre, une petite phrase lui reste en tête. Et elle va lui rester en tête toute la nuit suivante, jusqu’à devenir – selon ses propres mots – une véritable obsession:

« Le Covid aime le numérique ».

Boris Cicchetti a l’intuition qu’il tient là une clef. C’est une idée encore floue dans son esprit, mais cela va murir au fil des semaines qui suivent.

Il rencontre alors un ancien collègue d’université: Emmanuel Dutilleul. Emmanuel Dutilleul est aujourd’hui l’un des plus grands spécialistes en comportements et origines des virus.

Emmanuel Dutilleul fait le rapprochement avec une série de romans « The Expanse« . Une substance, nommée  » la proto molécule », qui se propage à la manière d’un virus. Celle ci développe une forme intelligence qui s’incarne dans les corps contaminés.

« Le Covid aime le numérique ».

Tout deux se demandent – « Et si ce covid avait ou était une forme d’intelligence ? »

Partant de ce postulat, les deux collègues travaillent ensemble durant des semaines. Par une approche phénoménologique, ils tentent de dessiner le portrait robot du virus, ou du moins son profil psychologique. « On sait ce que le covid aime. Le covid aime le numérique. On sait aussi ce qu’il n’aime pas. Il n’aime pas les rassemblements, les manifestations, les spectacles vivants. Il semble rejeter l’aspect grégaire de l’humanité. On sait aussi comment il se nourrit, ou encore comment il se reproduit. Mais on ne sait pas précisément ce qu’il veut. », nous confie Boris Cicchetti.

Pour les deux chercheurs, le virus n’est peut être pas si mauvais que ça. Il faut peut être juste le comprendre. Il faut chercher qui il est vraiment.